Les régions parisiennes et leurs valeurs immobilières

valeurs immobilières

La baisse des prix a pris un rythme plus soutenu depuis la rentrée. L’immobilier de luxe, les grands appartements familiaux ne connaissent plus de demande saisonnière et ont vu leurs prix baisser de 1.9% au cours du mois de septembre dernier. Les prix parisiens confirment donc la baisse générale de l’été.

Situation immobilier paris banlieue

La baisse des prix de l’immobilier à Paris s’est poursuivie au mois d’octobre et on la retrouve dans une moindre mesure en banlieue avec des baisses de prix moyennes de 1% dans le 94, à 0.3% en Grande Couronne et -0.6% en Petite Couronne. Les prix reculent alors que les taux d’intérêts continuent de tomber ce qui confirme la fragilité de la demande. Les acquéreurs ont peur de passer à côté d’une affaire ou de payer un prix encore trop élevé. Les vendeurs ne savent plus fixer les prix correctement par manque de repères sur le marché immobilier. Cependant, les sites proposent un large choix de biens immobiliers à investir dans différentes régions parisiennes, et en Île-de-France, plus précisément Val-de-Marne. Lire la suite.

Baisse généralisée sur tous les arrondissements

La chute des volumes de ventes, y compris pour l’immobilier de luxe a fini par faire baisser les prix de la pierre parisienne. Les appartements familiaux et surtout ceux présentant des inconvénients sont très affectés par le retournement du marché. Les biens surévalués sont ignorés.

Situation Paris banlieue

Le tableau des derniers chiffres disponibles pour 2014 attestent en moyenne une légère baisse de 1.6% par rapport au 3ème trimestre 2013 avec toutefois des évolutions à la hausse ou à la baisse selon les quartiers. Le 1er,2ème,3ème et 4ème  arrondissements du centre de la capitale restent des marchés où les transactions se font à flux tendu et où la demande est toujours supérieure à l’offre. Les biens de qualités sont très demandés.

11ème et 12ème arrondissements ont la côte

Les petits appartements sont à nouveau prisés par les jeunes couples, des familles avec de petits budgets liés au problème de l’emploi ou des familles achetant pour leurs enfants. Lorsque les prix sont attractifs, la demande est forte et les biens se vendent avec 5% de négociation en moyenne. Les acheteurs ne souhaitent même plus visiter les appartements avec défauts ou trop chers.

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