Les agences immobilières à Paris

Les agences immobilières

Tous les agents immobiliers le confirment, les prix de l’immobilier dans la capitale qui ont si longtemps flambé, avant de résister connaissent aujourd’hui  un recul général. Cette tendance du marché immobilier se confirme en octobre et aucun arrondissement de paris n’y échappe.

Les agences immobilières confirment la baisse

Les prix du marché immobilier parisien pourrait connaitre une baisse d’au moins 30% selon certains par rapport au pic de 2011, en l’espace de cinq à dix ans. Paris pourrait enregistrer une baisse de 5 à 6% en 2014, de 10% en 2015 puis de 4 % dans les années suivantes. Il faut noter par ailleurs que cette tendance vaut pour l’ensemble de la France et pas uniquement pour le marché immobilier à paris. La hausse des prix a duré tellement longtemps que tout le monde a oublié qu’il s’agit d’un marché comme les autres, soumis à des cycles de hausse et de baisse. Il faut se souvenir qu’entre 1990 et 1997, les prix de l’immobilier avait reculé partout en France de 39 à 49% y compris à Paris.

Pourquoi parler de bulle sur le marché immobilier ?

Pendant des années, les prix de l’immobilier et les revenus ont augmenté en parallèle. Cependant, on constate que cette corrélation ne fonctionne plus. Entre ce moment et le sommet de la bulle, à l’été 2011, les prix du marché immobilier ont progressé à un rythme près de deux fois plus rapide que les revenus ceci étant la preuve que les prix se sont déconnectés de la réalité du marché

Comment expliquer cette tendance du marché immobilier

Tous les agents immobiliers confirment cette baisse des prix mais quelle est la cause de ce recul. La raison principale est la financiarisation de l’économie qui a permis aux banques d’utiliser toutes sorte de moyens pour rendre artificiellement solvable les ménages : prêts à taux variables, augmentation de la durée du crédit… Par ailleurs le crédit immobilier est devenu pour les banques, un produit d’appel pour vendre d’autres produits financiers, si bien qu’elles ont exigé de rentabilité et ont ainsi pu baisser les taux d’intérêt du marché immobilier.

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